Je suis #SafeDriver épisode 1 : maîtriser son véhicule en toutes circonstances

Respecter les distances de sécurité, ça m’a permis d’éviter l’accident.

Une bonne visibilité est primordiale.

Si je n’avais pas roulé à une vitesse adaptée, à l’arrivée dans le virage, je n’aurais pas pu freiner.

La route du Désert est une route longue, monotone et parfois ennuyeuse avec, à certains endroits, des pentes et des virages dangereux.

Dans les renouvelables, on est amenés à aller sur des sites éoliens mais aussi des sites solaires et hydroélectriques. Ça nous oblige à prendre différents types d’itinéraires : autoroute, route nationale/départementale et piste aussi. Cette variété est un plaisir mais ça multiplie aussi les risques.

En général, les automobilistes au Brésil vont vite, tout le monde est pressé et parfois, c’est difficile à gérer. Avec un véhicule imposant qui transporte des produits dangereux, l’une des choses les plus importantes est de conserver la distance de sécurité avec le véhicule de devant.

Comme je change souvent de véhicule, tous les matins, je vérifie les pneumatiques, les phares et les rétroviseurs.

Nous sommes parfois confrontés à des conditions météorologiques difficiles, ce qui impacte la visibilité. Alors que je roulais d’Aqaba vers Amman, dans des zones traversées par des tempêtes de sable, j’en ai aperçu une au loin, j’ai donc ralenti et me suis arrêté dans un endroit sûr. J’ai bien sûr allumé tous mes feux pour avertir les gens. Une fois la tempête de sable terminée, j’ai repris la route en toute sécurité.    

Concernant la vitesse, j’ai une anecdote à vous raconter. J’étais dans une montée, à une vitesse adaptée, et un camion vide a percuté l’arrière de mon véhicule. J’ai gardé mon calme, je me suis garée sur le côté et je suis allée voir comment l’homme allait. Heureusement, les dommages n’étaient que matériels.

J’emprunte souvent des axes de circulation très importants au niveau des poids lourds. On est souvent exposés à des risques : le dernier en date, c’était sur l’autoroute : un poids lourd a déboîté devant nous sans le clignotant. Comme on avait suffisamment de distance de sécurité, j’ai pu ralentir, regarder dans mes rétroviseurs s’il n’y avait personne. J’ai pu déboîter et aller sur la 3e voie et ainsi, éviter le camion.

Pour moi, un conducteur prudent prend le volant le matin pour aller au travail et rentre le soir auprès de sa famille.

Je conduis toujours comme si quelque chose allait se passer.

Être #SafeDriver, c’est savoir s’adapter aux conditions météo et de la route. C’est conduire juste car les erreurs de comportement, ça ne pardonne pas.

Eu sou uma #SafeDriver / Je suis #SafeDriver / I’m a #SafeDriver